Notre littérature se fait de plus en plus connaître internationalement. C’est une fierté à cultiver, vraiment. Notre petit coin de pays, au marché minuscule comparativement à l’Europe, parvient à se faire remarquer. Ne soyons pas avares de compliments pour nos auteurs qui débroussaillent le chemin pour tous ceux qui vont suivre!

Éric Chacour accumule les nominations, décidément. Nous apprenions que son roman Ce que je sais de toi est en lice pour les Trophées de l’édition de Livres Hebdo, prix pour lequel le public est invité à voter. Il y figure en bonne compagnie, notamment avec Jean-Baptiste Andrea, Camille Creati et Fred Vargas. Ça vous tente de voter? C’est ici. Mais ce n’est pas tout! En plus d’être finaliste au Prix des libraires du Québec et au prix Aznavour des mots d’amour, il brille dans la première sélection du Prix des libraires en France. Le Prix des libraires en Seine présente également deux finalistes québécois. Éric Chacour y figure en compagnie de Jean-François Beauchemin, pour son livre Le roitelet, paru chez Québec Amérique, pour lequel il a d’ailleurs remporté le prix Lucioles en 2023.

Une autre bonne nouvelle à saluer : c’est chez les éditions Philippe Rey que le roman Les racines secondaires, de Vincent Fortier, publié chez nous par Del Busso Éditeur, continue son chemin en Europe. Rappelons également que le livre La fille d’elle-même, de Gabrielle Boulianne-Tremblay, est publié quant à lui depuis l’automne dernier chez JC Lattès.

On en profite aussi pour souligner la publication prochaine du roman Le refuge, d’Alain Beaulieu, aux éditions Liana Levi. Édité par Druide chez nous, Le refuge a remporté le prix France-Québec en novembre dernier.

Les traductions ne sont pas en reste! Les éditions Septentrion sont fières de voir le livre Une histoire du Québec racontée par Jacques Lacoursière être traduit pour le public japonais par les éditions Suisei Sha. On apprenait aussi que les éditions Fonfon avaient elles aussi quelques livres traduits récemment. Ma maison-tête, de Vigg, est disponible en anglais, Simone sous les ronces, de Maude Nepveu-Villeneuve et Sandra Dumais, en turc, Des roches plein les poches, de Frédérick Wolfe et Marie-Ève Tremblay, en allemand, Monsieur Tralalère, de Nathalie Ferraris et Josée Bisaillon, en chinois et La soupe aux allumettes, de Patrice Michaud et Guillaume Perreault, en espagnol.

L’universalité de notre littérature nous réchauffe le cœur, n’est-ce pas?

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