Au Canada, la littérature francophone s’étend des provinces maritimes à la côte ouest. Découvrez notre sélection d’ouvrages franco-canadiens publiés cette saison.

Rêve-creux
Alexis Rodrigue-Lafleur, L’Interligne, 248 p., 26,95$
Une adolescente de 15 ans et son jeune frère vivent soudainement des épisodes de somnambulisme toutes les nuits, ce qui chamboule toute la famille. Leur père essaie de comprendre ce qui se cache derrière ce comportement et explore même les théories surnaturelles ainsi que l’idée que ses enfants soient possédés. Après L’odeur du gruau, Alexis Rodrigue-Lafleur propose un roman empreint d’humour et composé principalement de dialogues, qui aborde notamment la parentalité, les liens familiaux et les frontières entre réalité et imaginaire.

 

 

Adieu, Staline!
Lamara Papitashvili, Éditions David, 208 p., 21,95$
En 1933, deux jeunes hommes, des amis très différents, un qui aime le risque et l’autre qui est introverti, quittent la petite ville où ils habitent en Géorgie dans l’espoir d’un avenir meilleur avec, en tête, un rêve d’Amérique. Leur périple ne sera pas de tout repos : ils éviteront entre autres d’être capturés par la police secrète de Staline. Ils passeront par la Turquie, Beyrouth et le Liban. C’est là que leur vie pourrait bien devenir meilleure. L’auteure s’est inspirée de l’histoire de son grand-père qui a fui l’Union soviétique en 1932 pour écrire ce roman qui sonde l’identité, l’immigration, la liberté et les risques que l’on peut prendre pour améliorer son sort ainsi que le courage que cela exige.

 

 

Comment on a écrit certains de mes livres
J. R. Léveillé, Du Blé, 130 p., 19,95$
Maintes fois primé, l’auteur derrière le fabuleux roman Le soleil du lac qui se couche se dévoile dans cet essai en abordant son parcours d’écrivain. Il est notamment question de ses inspirations, de ses œuvres et de son processus créatif. Cet ouvrage contient des articles, des conférences, des entrevues, des archives photographiques et des anecdotes qui permettent d’en découvrir davantage sur J. R. Léveillé, qui s’est inspiré du titre d’un livre de Raymond Roussel (Comment j’ai écrit certains de mes livres).

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