Avec toute la panoplie de téléséries et de films diffusés sur les nombreuses plateformes disponibles, il est normal que plusieurs s’inspirent de livres. Résultat? Ça fait du bon cinéma!

Ainsi, les jurys derrière les prix dédiés au cinéma, comme les Oscars ou les Césars, ont particulièrement honoré des films basés sur des livres. C’est heureux! On ne devrait pas en être surpris; après tout, la littérature regorge de trésors de scénarios à adapter. Quels livres se cachent derrière les films finalistes ou lauréats?

Du côté des Oscars, on retrouve le film Oppenheimer, basé sur la biographie de Kaï Bird et Martin J. Sherwin, Robert Oppenheimer : Triomphe et tragédie d’un génie, publié chez Le Cherche-midi.

Le film Pauvres créatures s’inspire du roman d’Alasdair Gray, dont une nouvelle édition est à paraître prochainement dans la collection « Suite », des éditions Métailié.

Le livre La note américaine, de David Grann, a servi de modèle pour le film du même nom en français, Killers of the Flowers Moon dans sa version originale.

Bien que plus difficile à obtenir, le roman de Percival Everett L’effacement a inspiré le film de Fiction américaine (American Fiction).

Le recueil de nouvelles Coup de chance, du célèbre Roald Dahl, contient la nouvelle qui a inspiré le court métrage La merveilleuse histoire de Henry Sugar (The Wonderful Story of Henry Sugar).

C’est la deuxième adaptation au cinéma de La couleur pourpre, du roman du même titre d’Alice Walker.

Nimona est adapté du roman graphique de Nd Stevenson.

Les Golden Globes ont récompensé les films Oppenheimer, La note américaine et Pauvres créatures. On ajoute également Le garçon et le héron, une adaptation très libre du classique de la littérature japonaise Et vous, comment vivrez-vous?

En France, les Césars honorent notamment le film L’amour et les forêts, tiré du livre d’Éric Reinhardt et Les trois mousquetaires, d’Alexandre Dumas. Porté à l’écran, le percutant Le consentement, de Vanessa Springora, promet de bousculer tout autant qu’à la lecture.

Bonnes lectures… et bon cinéma!

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