Le prix canadien Arthur-Ellis distingue chaque année depuis 1984 – depuis 2000 pour la catégorie francophone – un auteur de polar qui s’est particulièrement démarqué par la publication d’une de ses œuvres dans la dernière année.

Cette année, le gala qui faisait office de célébration pour les finalistes et les lauréats de l’édition 2020 n’aura pas lieu, mais une annonce des gagnants sera faite à travers leur réseau de communication autour de la fin du mois de mai.

Cinq candidats francophones se disputent la première place de la 37e édition. Le gagnant succédera ainsi à Hervé Gagnon qui avait remporté les honneurs l’an dernier avec le roman Adolphus (Libre Expression).

Parmi les cinq finalistes de cette année, deux d’entre eux ont déjà gagné un prix Arthur-Ellis, soit Martin Michaud pour La chorale du diable (Goélette) en 2012 et Andrée A. Michaud pour Bondrée (Québec Amérique) en 2015.

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