Les lauréats seront connus le 8 novembre prochain… ce qui nous laisse un petit laps de temps pour découvrir ces petits bijoux littéraires!
Essai
Faux rebelles : Les dérives du politiquement incorrect, Philippe Bernier Arcand (Poètes de brousse)
J’accuse les tortionnaires d’Omar Khadr, Frédéric Bérard (Saint-Jean)
La société de provocation, Dahlia Namian (Lux)
Mégaptère, Martine Béland (Leméac)
Panique à l’Université, Francis Dupuis-Déri (Lux)
Littérature jeunesse – livres illustrés
Gervais et Conrad, Iris Boudreau (Les 400 coups)
Je t’écris de mon lit, Maude Nepveu-Villeneuve et Agathe Bray-Bourret (Les 400 coups)
Le bourlingueur de Matungoua, Boucar Diouf et François Thisdale (Éditions La Presse)
Le plus petit sauveur du monde, Samuel Larochelle et Eve Patenaude (XYZ)
Parfois les lacs brûlent, Geneviève Bigué (Front Froid)
Littérature jeunesse – texte
Escarpolette, Sylvie Drapeau (Dominique et compagnie)
Le plancher de la lune, Jean-Christophe Réhel (La courte échelle)
Linoubliable, Lou Beauchesne (La courte échelle)
Mélie quelque part au milieu, Mylène Goupil (Québec Amérique)
Zipolaris (t. 3) : La malédiction de Zangra, J.L. Blanchard (Fides)
Poésie
À terre ouverte, Sebastian Ibarra Gutierrez (Hamac)
Atiku Utei. Le cœur du caribou, Rita Mestokosho (Mémoire d’encrier)
Exercices de joie, Louise Dupré (Le Noroît)
La fabrique du noir, Virginie Chalaoux-Gendron (Le Noroît)
Les deuils transparents, Virginie Savard (Triptyque)
Romans et nouvelles
Galumpf, Marie Hélène Poitras (Alto)
L’or des mélèzes, Carole Labarre (Mémoire d’encrier)
Mon fils ne revint que sept jours, David Clerson (Héliotrope)
Sombre est la nuit, Brigitte Haentjens (Boréal)
Une carte postale de l’océan, Stéfani Meunier (Leméac)
Théâtre
Akuteu, Soleil Launière (Remue-ménage)
Charlie, du vent derrière le nombril, Martin Bellemare (Dramaturges Éditeurs)
Gros gars, Mathieu Gosselin (Somme toute)
Les glaces, Rébecca Deraspe (Ta Mère)
Mama, Nathalie Doummar (Remue-ménage)
Traduction
Dans l’ombre du soleil : Réflexions sur la race et les récits, Esi Edugyan, traduit par Catherine Ego (Boréal)
N’ayons pas peur du ciel, Emma Hopper, traduit par Dominique Fortier (Alto)
Père fictif, Joe Ollmann, traduit par Luba Markovskaia (La Pastèque)
soufrelangue, Rebecca Salazar, traduit par Madeleine Stratford (Prise de parole)
Tout est bien, Mona Awad, traduit par Marie Frankland (Québec Amérique)
Pour découvrir la liste complète des finalistes des Prix du Gouverneur général, c’est ici.