La Ville de Québec est notamment reconnue pour le dynamisme de sa vie culturelle. À quelques semaines de son Salon international du livre (SILQ), les finalistes des différentes catégories du Prix littéraire de la Ville de Québec se révèlent prometteurs d’une grandiose saison.

La vitalité littéraire de Québec, nommée ville créative de littérature UNESCO depuis 2017, n’est plus à prouver. Sous la bienveillante gouverne de l’Institut canadien de Québec (L’ICQ), la programmation aussi variée qu’inclusive de la Maison de la littérature notamment, joyau des activités culturelles, témoigne de la volonté de faire vivre la littérature au quotidien. La revue Les libraires, chapeautée par la coopérative des Librairies indépendantes du Québec, participe également à la culture littéraire foisonnante de la capitale nationale.

Le Prix littéraire de la Ville de Québec s’avère une précieuse collaboration entre la Ville de Québec et le SILQ et se déploie en trois différentes catégories, soit « Littérature adulte », « Essai » et « Littérature jeunesse ».

Dans la catégorie « Littérature adulte », les finalistes sont :

Héroïnes et tombeaux, Daniel Grenier (Héliotrope)

Un choix d’amour, Valérie Forgues (Triptyque)

Jyothi, Elsa Simone (Druide)

Dans la catégorie « Essai », les finalistes sont :

Revenant de Chine, Marc St-Pierre (Presses de l’Université Laval)

Chartier de Lotbinière : Sur tous les fronts 1723-1798, Dave Noël (Boréal)

Godin, Jonathan Livernois (Lux)

Dans la catégorie « Littérature jeunesse », les finalistes sont :

Jaja la nuit, Valérie Boivin (Fonfon)

Rose, Isabelle Hubert (L’instant même)

Le manoir Hillcrest, Sandra Dussault (La courte échelle)

S’ajoute à ces catégories le Prix de la poésie Jean-Noël-Pontbriand, remis en collaboration entre l’Université Laval et le Bureau des affaires poétiques. Voici les finalistes :

Trop de Pascale, Pascale Bérubé (Triptyque)

Les retombées du désordre suivi de Trente-sept acres de solitudes, Hélène Harbec (Le Noroît)

Des longueurs dans le crépuscule, Mathieu Simoneau (Le Noroît)

Enfin, le Prix reconnaissance en bande dessinée, remis en collaboration avec Québec BD, a pour mission d’honorer la contribution d’un ou une bédéiste au 9e art grâce à son œuvre et son implication, toujours en activité sur le territoire de la ville de Québec.

Les lauréats et lauréates seront annoncés le 26 mars prochain et seront invités à prendre part au SILQ. Chacun et chacune recevront une bourse de 5000$ et les finalistes, 500$.

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