Pour le 12 août, les libraires conseillent… 5 romans québécois qui se passent (du moins en partie) en août!

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Les libraires indépendants sont fiers de supporter l’initiative « Le 12 août, j’achète un livre québécois ». Dès le 4 août, nous proposerons chaque jour une sélection d’ouvrages québécois conseillés par les libraires d’ici. Célébrons les livres de nos créateurs, célébrons les librairies de proximité!

Page Facebook de l’événement :
https://www.facebook.com/events/259521250915928/?ref=ts&fref=ts

Pour notre premier arrêt, voici 5 romans québécois qui se passent (du moins en partie) en août!

 

Jack : une enquête de Joseph Laflamme, Hervé Gagnon (Libre Expression)

Montréal, août 1891. Par un matin de canicule, on découvre le corps horriblement mutilé d’une prostituée dans une rue du Red Light. Ce meurtre est le premier d’une série comme jamais Montréal n’en a connu et qui ressemble à s’y méprendre aux assassinats commis par Jack l’Éventreur à Londres en 1888. Pourtant, étrangement, ni la police ni la presse ne s’y intéressent. Seul Joseph Laflamme, journaliste du quotidien Le Canadien en mal de travail, fouille l’affaire malgré l’opposition des autorités et des mystérieux francs-maçons.

Un fou imite-t-il le célèbre tueur ou Jack l’Éventreur lui-même a-t-il traversé l’Atlantique pour mieux sévir à Montréal ?

 

Mélusine et Philémon T.1 : L’anneau du diable, Corinne de Vailly (Hurtubise)

Jérusalem, août 1174. La princesse Sibylle doit au plus vite rejoindre son père mourant, le roi Amaury. Chemin faisant, la jeune fille et sa petite escorte tombent dans une embuscade. Le complot se précise lorsque le page Philémon surprend une conversation inquiétante. Les conspirateurs n’entendent pas laisser en liberté un témoin aussi gênant. Le garçon découvre alors que sa vie est d’une valeur inestimable. Il est l’un des descendants de la fée Mélusine, dont il apprend les exploits au fil de sa quête. Philémon réussira-t-il à retrouver l’anneau du Diable ?

 

Malphas T. 1 : Le cas des casiers carnassiers, Patrick Senécal (Alire)

Je m’appelle Julien Sarkozy. Oui, oui, je me prénomme bien Julien ! Professeur de littérature, j’étais fin prêt il y a quelques jours pour ma première session au cégep de Malphas. Le directeur pédagogique, Rupert Archlax, m’avait annoncé que j’aurais trois groupes dans le cours 102. Comme c’est celui qui se donne pendant la session d’hiver et que nous étions en août, j’avais tout de suite compris que mes élèves seraient ceux qui avaient coulé le cours à la dernière session.  Pour un professeur qui a quatorze années d’ancienneté – les trois premières à Montréal, les autres à Drummondville –, ce n’est pas la situation rêvée. Mais je ne me suis pas plaint : après ce qui est arrivé l’an dernier, je… Enfin, disons que j’étais simplement heureux de pouvoir continuer à enseigner et que le cégep de Malphas, qui est si reculé que même Internet haute vitesse n’est pas encore rendu ici, représentait ma dernière chance !

 

L’homme qui détestait le golf, Sylvain Meunier (La courte échelle)

L’homme qui détestait le golf, un polar insolent, un cocktail détonnant où passion, jalousie, humour noir et politique se marient joyeusement, sur fond d’enquête policière… et de golf. Au coeur du mois d’août, le soleil darde ses plus chauds rayons, les journées coulent paisiblement et la saison de golf bat son plein. C’est alors qu’une bombe sème la panique. Un golfeur meurt, décapité par une balle bourrée de nitroglycérine. D’autres balles explosives sont retrouvées sur le terrain de golf : toutes portent la même signature… S’agit-il d’un attentat politique? Rapidement, l’attention du sergent-détective Drummond se porte sur un suspect. Qu’est-ce qui a bien pu pousser cet homme discret, au-dessus de tout soupçon, à commettre l’irréparable? Au moment où le sergent-détective Drummond met enfin le doigt dans la faille, les événements prennent un tour inattendu…

 

C’était un 8 août, Alain M. Bergeron (Soulières)

À cause d’une balle de baseball et d’une éclipse, j’ai été aspiré dans le passé. Je me réveille en vacances chez une tante. Mon cousin, c’est mon père ! Moi, je souhaite être son ami ! Mais il ne veut rien savoir de moi, il m’évite et me fuit… Heureusement qu’il y a la musique, le cinéma, les filles et le baseball ! Je m’appelle David Bernard et mon père est mort quand j’avais six ans. Vais-je revenir au présent ?

 

(Les résumés sont ceux des éditeurs)

Source: Annie Groovie

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