Pour le 12 août, les libraires conseillent… 10 polars québécois

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Pour le 12 août, les libraires conseillent… 10 polars québécois.

Les libraires indépendants sont fiers de supporter l’initiative « Le 12 août, j’achète un livre québécois ». Depuis le 4 août, nous proposons chaque jour une sélection d’ouvrages québécois conseillés par les libraires d’ici. Célébrons les livres de nos créateurs, célébrons les librairies de proximité!

Page Facebook de l’événement :
https://www.facebook.com/events/259521250915928/?ref=ts&fref=ts

Pour notre arrêt dominical, et en primeur, 10 polars québécois incontournables. Ces suggestions sont tirées de notre carnet thématique gratuit consacré au genre et qui sera disponible chez votre libraire indépendant pile-poil pour le 12 août.

(Une sélection de Stéphane Picher et Christian Vachon de la librairie Pantoute)

 

Richard Ste-Marie, Un ménage rouge (Alire)
Ste-Marie sait comment ficeler suspense et questionnement intime sans perdre son lecteur; il parvient même à nous faire éprouver de la compassion pour ce vilain personnage.

Martin Michaud, Sous la surface (Goélette)
Un robuste thriller à la mécanique parfaitement rodée, un astucieux suspense qui n’a rien à envier à ceux d’un Nesbo, d’un Connelly ou d’autres acrobates de l’intrigue.

Jacques Côté, Le rouge idéal (Alire)
C’est avec ce livre qu’on a compris que Jacques Côté était un véritable auteur polar qu’il faudrait désormais suivre attentivement. La suite nous a donné raison! Incontournable.

François Lévesque, Une maison de fumée (Alire)
Redoutable conteur, Lévesque nous fait évoluer dans un monde rassurant avant de nous jeter dans l’abîme. La finale, terrifiante, inattendue, vous laissera complètement sonné!

Julie Rivard, La pieuvre (VLB)
La plume est vigoureuse, les rebondissements multiples, les personnages bien dessinés et attendrissants; une nouvelle auteure à prendre au sérieux.

François Gravel, À deux pas de chez elle (Québec-Amérique)
En évitant les clichés et en accordant à ses personnages l’attention qu’ils méritent, ce vétéran auteur réussit haut la main son premier « vrai » polar pour adultes.

Benoît Bouthillette, La trace de l’escargot (JCL)
À sa sortie, une espèce d’ovni – auteur inconnu, maison d’édition pas connue pour faire dans le genre. L’ovni est devenu une sorte de classique du « romantisme trash ».

Jean-Jacques Pelletier, La chair disparue, Alire
Amateurs de théories du complot, n’oubliez pas que les romans de Pelletier sont des fictions! Quoique, quand on sait le sérieux qu’il met à se documenter, l’inquiétude survit.

Jean Lemieux, On finit toujours par payer (la Courte échelle)
Les Îles de la Madeleine sont ébranlées par un meurtre sordide; le sergent Surprenant peine à avancer, comme s’il luttait toujours contre un vent de face. D’ailleurs, c’est le cas…

Mario Bolduc, La nuit des albinos (Libre Expression)
Ce n’est pas souvent qu’on ose une intrigue à caractère international au Québec. Bolduc, lui, ose! Espionnage, sorcellerie, trafic d’organes, mais pas de repos pour le lecteur.

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