Prix Senghor du premier roman : deux Québécois parmi les finalistes

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Comme son nom l’indique, le prix Senghor du premier roman francophone et francophile récompense une œuvre d’un primo-romancier qui écrit en français. Sélectionnés partout sur le globe, les candidats sont maintenant sous la loupe du jury qui invite les lecteurs à se procurer les livres finalistes afin de donner leur avis via la page Facebook du prix. Parmi les 12 finalistes, les Québécois Geneviève Pettersen pour La déesse des mouches à feu (Le Quartanier) et Martin Doyon pour Les improductifs (Hurtubise). Depuis l’inauguration du prix en 2006, une seule Québécoise a reçu l’honneur, soit Christine Eddie pour Les carnets de Douglas (Alto). Le nom du lauréat 2015 sera connu le 30 septembre prochain.

Un jeune homme prometteur, Gautier Battistella, Grasset (France)
Le voyage d’Octavio, Miguel Bonnefoy, Rivages (France)
L’homme qui ne voulait plus être roi, Joan Condijts, Genèse (Belgique)
Les improductifs, Martin Doyon, Hurtubise, (Québec)
Debout-payé, Gauz, Le nouvel Attila (Côte d’Ivoire)
Les enfants des cyclones, Ronald c. Paul, Le soupirail (Haïti) 
La déesse des mouches à feu, Geneviève Pettersen, Le Quartanier (Québec)
Les jardins de consolation, Parisa Reza, Gallimard (Iran)
Érable, Saskia de Rothschild, Stock (France) 
Comment les grands de ce monde se promènent en bateau, Mélanie Sadler, Flammarion 
Eastern, Andréa Salajova, Gallimard (Slovaquie) 
India Express, Constantin Simon, Le passage (France) 

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