Parisa Reza rafle le prix Senghor du premier roman

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Alors que deux Québécois étaient en lice pour le prix Senghor du premier roman francophone et francophile, c’est finalement l’auteure Parisa Reza, originaire de Téhéran en Iran, qui a remporté la mise pour Les jardins de consolation (Gallimard). Née en 1965, Reza arrive en France à l’âge de 17 ans. Son roman se déroule en Iran dans les années allant de 1920 à 1953. Il raconte la vie de Talla et Sardar, un couple de bergers, qui verra leur fils Bahram s’émanciper grâce à l’éducation.
Le prix est accompagné d’une bourse de 2000 euros (près de 3000 dollars canadiens).

Extrait du roman Les jardins de consolation : « L’homme se révèle dans la défaite… Tu verras, à chaque fois que tu feras ton devoir d’homme, la défaite sera là. Autant l’aimer et la chérir. Bois-là comme le thé qui a l’amertume du poison la première fois, mais après, si tu l’acceptes, il te révélera à toi-même. »

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