En plus de romans et de recueils de poésie totalisant six publications, dont Le nid de pierres, l’auteur a déjà fait paraître quatre albums musicaux.
L’œil de Jupiter, c’est la rencontre, dans un bar de La Nouvelle-Orléans, entre Simon Venne et une femme nommée Ruth. Leurs déambulations, toutes en non-dits coupables et en secrets, les conduiront à lever les yeux au ciel pour contempler Jupiter. Une mince consolation naîtra alors : cette tache visible à la surface de la planète serait un immense anticyclone. Alors, même en repensant à l’ouragan Kratrina et aux injustices de notre époque, ils se disent que des tempêtes plus dévastatrices existent ailleurs.
Tristan Malavoy s’est exprimé sur sa page Facebook : « Les mots me manquent et vont me manquer encore un moment… Je trouve quand même ceux-ci : à mon directeur littéraire Jean Bernier, sans qui ce livre n’aurait été que l’ombre de ce qu’il est devenu, à Philippe Gendreau, Marie-Maxime Jandelle et toute l’équipe du Boréal, grand grand merci, je partage ce prix avec vous toutes et tous…
Les mots me manquent d’autant plus que L’œil de Jupiter était finaliste aux côtés de deux livres extraordinaires… Marité Villeneuve et Louise Dupré, toutes mes félicitations, toute mon admiration…
Anne, Simon, Ruth et même Hernandez font un pas de danse sur un quai de La Nouvelle-Orléans. Et ce matin l’ouragan en est un de bonheur immense. »
Les autres finalistes étaient Marité Villeneuve pour Mon frère Paul (Del Busso Éditeur) et Louise Dupré pour Théo à jamais (Héliotrope).
Photo : © Éditions du Boréal
