Le Prix Cécile-Gagnon 2013

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Pour soutenir la relève en matière de littérature jeunesse, l’Association des écrivains québécois pour la jeunesse (AÉQJ) remet depuis 1997 le prix Cécile-Gagnon à un auteur qui a publié un premier roman jeunesse. Depuis 2004, elle couronne aussi tous les deux ans l’auteur d’un premier album. La révélation s’est faite au Salon du livre de Montréal devant des finalistes, en compagnie de Madame Anne-Marie Lizotte, la représentante de la librairie Monet qui est le partenaire de ce prix, la présidente de l’AÉQJ, Madame Laila Héloua, et des membres du jury.

Chacun des deux récipiendaires reçoit une bourse de 1000 $.

Parmi trente nouveaux romans québécois publiés cette année, le prix va à :

Muriel Kearney pour La cellule Hope (Soulières)

Amoureux en secret de la belle et rebelle Hope Lowry, Émile se met les pieds dans les plats en participant à une cellule politique ayant pour mission de changer le monde et particulièrement celui des conditions de travail des employés des mines. Émile suit son coeur qui l’amènera en Abitibi, mais aussi devant la Justice.

Parmi les dix-sept premiers albums québécois parus ces deux dernières années, le prix va à :

Valérie Boivin pour Un après-midi chez Jules (Les 400 Coups)

Jules et ses parents étaient si à l’étroit, qu’ils ont déménagé. Maintenant, ils habitent une grande maison. Il y a tant de pièces que Jules n’a pas assez de doigts pour toutes les compter. Mais Jules s’ennuie : plus rien ne l’amuse, pas même sa collection de moustaches. Jusqu’au jour où la simple confection d’un avion en papier lui permet de rencontrer tous les gens du voisinage dont une petite fille de son âge.

Deux mentions spéciales ont aussi été accordées, soient à Dïana Belice pour son roman Fille à vendre et à Natalie Choquette pour son album Mademoiselle Myrtille.

AÉQI

Notez que les résumés des livres sont ceux des éditeurs.

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