L’écrivain libanais Charif Majdalani est le lauréat 2015 du prix Jean Giono pour son roman Villa des femmes, paru fin août aux éditions du Seuil. L’ouvrage, qui est également finaliste pour le prix Femina, s’attarde, dans le Liban des années 1960, à une querelle familiale autour de la succession d’une usine de tissus lancée par un homme d’affaires qui se croyait éternel. L’action est décrite par le chauffeur et confident de l’homme d’affaires.
Charif Majdalani, enseignant de lettres françaises dans une université de Beyrouth, signe avec Villa des femmes son cinquième roman. L’écrivain de 55 ans met ainsi la main sur la bourse de 10 000 $ versée au lauréat du prix Jean Giono, qui célèbre le « vrai talent de raconteur d’histoires ».
