C’est l’écrivain et essayiste Gérald Baril qui bénéficie cette année de la Bourse Jean-Pierre-Guay – Caisse de la Culture pour le projet littéraire qu’il a soumis. Vingt-neuf dossiers avaient été déposés.
En lien avec la migration des oies blanches, l’essai proposé nomme l’indéfectible relation entre l’humain et la nature. « Le récit et le documentaire sont ici imbriqués dans une complicité remarquable », a exprimé le jury, constitué de la poète Véronique Cyr, la boursière de l’an dernier, de l’écrivaine Anne-Marie Aubin et du libraire Robert Boulerice.
Des alliances avec les univers de Pierre Morency et de Gabrielle Roy ont aussi été remarquées dans l’ouvrage de l’écrivain Baril « dont on émerge éblouis, émus et touchés », ont continué les jurés.
Monsieur Baril est entre autres collaborateur au magazine littéraire Nuit Blanche. Il reçoit un montant de 3000$.
Source : UNEQ
Crédit photo : Marie-Cécile Gladel