Jonathan Pedneault se retrouve en lice pour le Prix Senghor 2018 du premier roman francophone et francophile grâce à son roman Toi aussi, mon fils (XYZ). Ce prix international, rendant hommage au poète Léopold Sédar Senghor, récompense une première œuvre d’expression française.

Dans Toi aussi, mon fils, Matisse essaie de comprendre les absences de son père, Antoine, un reporter de guerre, qui a laissé derrière lui des carnets racontant ses périples au cœur de plusieurs zones de conflits, entre autres à Berlin, au Zaïre, au Rwanda et à Tel-Aviv. Alors qu’il s’apprête à devenir père à son tour, Matisse cherche un sens à son histoire.

Rappelons que l’an dernier, l’auteur québécois Stéphane Larue avait remporté les honneurs pour son roman Le plongeur (Le Quartanier).

Le lauréat du Prix Senghor 2018 sera connu à la fin de septembre.

Voici les finalistes :

Toi aussi, mon fils de Jonathan Pedneault (XYZ)
Ariane de Myriam Leroy (Don Quichotte)
Les déraisons d’Odile d’Oultremont (L’Observatoire)
L’ivresse du Sergent Dida d’Olivier Rogez (Passage)
Beek ou l’art de la boucherie de Folly K. (La Cheminante)
Des ailes au loin de Jadd Hilal (Elyzad)
Traversée de Francis Tabouret (P.O.L)
Vert cru de Touhfat Mouhtare (Komédit)
Pourquoi les oiseaux meurent de Victor Pouchet (Finitude)
À la droite du père de Marie Bardet (Emmanuelle Colas)
Rouge de soi de Babouillec (Rivages)
La femme qui ressuscite : Vie d’Anastasia Romanov de Nadia Oswald (Le Nouvel Attila)

 

En complément :
Entrevue avec Jonathan Pedneault lors de la parution de Toi aussi, mon fils

Photo : © Pierre Bairin

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