On aime beaucoup l’audace de cet important prix décerné chaque année par la ville de Montréal. L’édition 2017 ne fait pas exception, alors que des ouvrages d’horizons variés – romans, nouvelles, poésie, essai, récit – concourent pour cet honneur associé à une bourse de 15 000$. 

Les finalistes sont :

Marie-Claire Blais pour Des chants pour Angel (Boréal)
Jacques Brault pour Images à Mallarmé (Noroît)
Stéfanie Clermont pour Le jeu de la musique (Le Quartanier)
Marie-Pascale Huglo pour Montréal-Mirabel, lignes de séparation (Leméac)
René Lapierre pour Les adieux (Les Herbes rouges) 

Le lauréat sera dévoilé le 13 novembre prochain lors d’une cérémonie à la Chapelle historique du Bon-Pasteur. Créé en 1965, le Grand Prix du livre de Montréal soutient l’excellence de la création littéraire et le dynamisme du milieu éditorial montréalais. L’an dernier, le prix était revenu à La femme qui fuit d’Anaïs Barbeau-Lavalette.

Publicité