Ce n’est pas pour rien qu’en octobre dernier nous avions recruté le Sherbrookois Dominic Tardif comme chroniqueur en littérature québécoise entre les pages de notre revue : sa plume est exceptionnelle et son regard est d’une pertinence indiscutable. C’est donc avec plaisir que nous apprenons que ce journaliste talentueux, qui signe également des textes pour Le Devoir et La Tribune et collabore sporadiquement à des émisisions de radio et de télévision, a reçu le Grand Prix de l’Association des journalistes indépendants du Québec, dans la catégorie Journalisme culturel, pour un texte publié dans Le Devoir en mai 2016, intitulé S’il suffisait d’aimer Céline, que nous vous invitons à (re)lire. Les deux autres journalistes en lice étaient Marie Pâris (Huffington Post Québec) et Pierre-Alexandre Fradet (Spirale). Félicitations!
Pour relire quelques chroniques de Dominic Tardif :
Maudite mémoire
À chacun sa fin du monde
Les bras de la nuit
Chronique pas inspirante
