Une nouvelle maison d’édition montréalaise voit le jour

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Le 17 février prochain, les deux premières parutions de la nouvelle maison d’édition montréalaise Le bout du mille feront leur arrivée sur les tablettes des librairies. Distribuée par Dimedia, cette maison veut publier des titres « aux regards autres, singuliers, des points de vue qui nous mènent vers de nouvelles frontières ». Les deux premières œuvres proposées sont des traductions d’auteurs canadiens.

Le roman Montréal mélodie de la Torontoise Golga Fried, traduit par Sophie Campbell, raconte la découverte de Montréal par Alice, une jeune universitaire fraîchement débarquée dans la métropole pour y étudier la littérature. Sa rencontre avec Nellcott, jeune homme de 23 ans aficionado de la musique, jettera une nouvelle lumière sur la ville et ses charmes. Dans sa version originale anglaise (Nellcott is my Darling), ce roman a été finaliste au Prix littéraire du Gouverneur général en 2005 et sera adapté au petit écran prochainement.

Le roman De pertes en fils du Montréalais Howard Roitier, traduit par Pier-Pascale Boulanger, est l’autre titre à paraître chez Le bout du mille en février. On est en 1937. Josef fuit la Hongrie et arrive à Montréal où il tente de rapatrier sa femme et ses trois enfants puisque le régime d’Hitler y entame déjà sa mission d’épuration. Les histoires s’emboîtent et convergent vers les pertes que finit par accumuler une vie humaine.

Avec l’enthousiasme que provoque toujours l’apparition d’une nouvelle maison d’édition au Québec, nous souhaitons la bienvenue au Bout du mille!

Le bout du mille

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