Un aparté à crier sur tous les toits

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Les éditions Alto ont mis en ligne jeudi dernier un tout nouveau magazine, (Aparté). Une sorte de complément pour les lecteurs jamais rassasiés qui dégoteront des entrevues exclusives. Une mine d’or pour l’écornifleux qui voudrait en savoir plus sur les auteurs et illustrateurs. Un privilège pour le fana qui pourra y trouver des inédits, des portfolios, des confidences.

En 9 ans de travail d’éditions, Alto a su démontrer son ardeur au travail, son tempérament rigoureux, sa plume bien trempée, ses lettres de noblesse. (Aparté) est à son image, une invention réjouissante, un nec plus ultra, une valeur rajoutée.

Dans le premier numéro – on nous en promet trois par année -, Nicolas Dickner se préoccupe du sort des mots qui se retrouvent entre le couper/coller, c’est-à-dire disparus, mais pas encore revenus de leur endroit éphémère. Encore, on nous apprend les origines du merveilleux texte de L’orangeraie de Larry Tremblay; le processus de création de l’artiste-illustrateur Lars Henkel, celui qui a réalisé les couvertures des Peaux cassées et de L’empereur de Paris; un entretien avec Emily Schultz, une nouvelle venue chez Alto qui vient d’y faire paraître Les blondes; un extrait exclusif des Variations endogènes de Karoline Georges, à paraître chez Alto le 10 mars prochain; et les sources d’inspiration qui ont fait naître le superbe Mur mitoyen de Catherine Leroux.

(Aparté) c’est aussi un magnifique objet virtuel. Chaque page est invitante et nous convie à une rencontre, une découverte, une curiosité littéraire. Une preuve supplémentaire de la magie d’Alto.

(Aparté)

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