Cuba autrement

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Tout est possible, en dehors des complexes touristiques,
parce qu’écrire à Cuba, c’est se reconnecter à l’essentiel,
en commençant par observer le monde extérieur d’une nouvelle façon,
pour mieux accéder à nos propres lieux refoulés.

Pourquoi ne pas faire comme Ernest Hemingway et partir écrire à Cuba? L’écrivain américain y a vécu dans les années 30 et 40. Il a habité entre autres la chambre 551 de l’hôtel Ambos Mundos à La Havane et il allait faire son tour au bar la Floridita pour prendre son mojito quotidien. Quand il reçoit le prix Nobel de littérature en 1954, il le dédie au peuple cubain. Mais que peut bien posséder Cuba que l’Amérique du Nord n’a pas?

Pour rencontrer et faire véritablement connaissance avec un pays, entrez par la porte de ses écrivains. Elle ouvre sur l’histoire, les rêves, l’âme de ses habitants qui viennent enrichir notre propre vision du monde. C’est ce que vous propose du 8 au 15 février l’atelier d’écriture des voyages solidaires J’aime Cuba. Un beau projet qui « incitera les gens à concevoir et à imaginer Cuba sous des possibilités littéraires et artistiques et non plus comme une destination du “Sud” championne des tout-inclus », espère Maya Ombasic, écrivaine et organisatrice du projet.

Les participants au voyage pourront donc découvrir la ville de Cuba sous l’angle des écrivains, mais aussi prendre part à l’écriture avec l’assistance de l’auteure Aline Apostolka qui animera les ateliers. Sous le thème « La beauté des ruines », l’escapade promet la visite de lieux aux paysages magnifiques, la nature étant l’inspiration principale du courant littéraire du « réalisme magique » de l’Amérique latine. Rencontres avec des écrivains contemporains, séjours chez l’habitant, fêtes et repas chez les paysans, scène culturelle havanaise, moments introspectifs, visites des endroits incontournables, mais aussi quelques-uns de ceux, splendides, moins fréquentés. À ce compte-là, c’est un euphémisme de dire que le voyage vaut le détour!

« Comme une virgule entre l’Amérique du Nord et l’Amérique du Sud, en forme d’un grand lézard qui s’étend à travers la mer des Caraïbes, Cuba a su retenir le meilleur des nombreux courants qui l’ont traversé. »

Pour plus d’informations, suivez ce lien: J’aimeCuba

MayaOmbasic

AlineApostolska

Autre source:

Atlantico

 [email protected]

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