Prix Médicis : la première sélection

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Après le Renaudot et le Goncourt, le jury du Médicis a fait connaître sa sélection. Au Québec, on se rappelle bien cet honneur puisque le Québécois d’origine haïtienne Dany Laferrière l’a remporté en 2009 pour L’énigme du retour. Une seule autre Québécoise a réussi l’exploit en 1966, Marie-Claire Blais avec  Une saison dans la vie d’Emmanuelle.

Voici la première liste de 2014. À noter que L’amour et les forêts d’Éric Reinhardt  se retrouve à la fois dans la sélection du Goncourt, du Renaudot et du Médicis.

Romans français
– Aurélien Bellanger, L’aménagement du territoire (Gallimard)
– Véronique Bizot, Ame qui vive (Actes Sud)
– Pierre Demarty, En face (Flammarion)
– Claudie Hunzinger, La langue des oiseaux (Grasset)
– Jean-Hubert Gailliot, Le soleil (L’Olivier)
– Hedwige Jeanmart, Blanès (Gallimard)
– Nathalie Kuperman, La loi sauvage (Gallimard)
– Frank Maubert, Visible la nuit (Fayard)
– Laurent Mauvignier, Autour du monde (Minuit)
– Christine Montalbetti, Plus rien que les vagues et le vent (P.O.L.)
– Eric Reinhardt, L’amour et les forêts (Gallimard)
– Antoine Volodine, Terminus radieux (Seuil)
– Valérie Zenatti, Jacob, Jacob (L’Olivier)
 
Romans étrangers
– Margaret Atwood, MaddAddam (Robert Laffont), traduit de l’anglais (Canada) par Patrick Dusoulier.
– Lily Brett, Lola Bensky (La grande ourse), traduit de l’anglais (Australie) par Bernard Cohen.
– Sonali Deraniyagala, Wave (Kero), traduit de l’anglais (GB) par Camille de Peretti.
– Mohsin Hamid, Comment s’en mettre plein les poches en Asie mutante (Grasset) traduit de l’anglais (Pakistan) par Bernard Cohen.
– Vladimir Lortchenkov, Des 1001 façons de quitter la Moldavie (Mirobole), traduit du russe par Raphaëlle Pache.
– Ursula Krechel, Terminus Allemagne (Carnets Nord /Montparnasse), traduit de l’allemand par Barbara Fontaine.
– Anthony Marra, Une constellation de phénomènes vitaux (J.C. Lattès), traduit de l’anglais (Etats-Unis) par Dominique Defert.
– Antonio Moresco, La petite lumière (Verdier), traduit de l’italien par Laurent Lombard.
– Maxime Ossipov, Histoires d’un médecin russe (Verdier) traduit du russe par Éléna Rolland.
– Leonardo Padura, Hérétiques (Metailié), traduit de l’espagnol (Cuba) par Elena Zayas.
– Peter Stamm, Tous les jours sont des nuits (Bourgois), traduit de l’allemand par Pierre Deshusses.
– James Salter, Et rien d’autre (L’Olivier), traduit de l’anglais (Etats-Unis) par Marc Amfreville.
– Zeruya Shalev, Ce qui reste de nos vies (Gallimard), traduit de l’hébreu par Laurence Sendrowicz.
– Juan Gabriel Vasquez, Les réputations (Seuil), traduit de l’espagnol (Colombie) par Isabelle Gugnon.
– Evie Wyld, Tous les oiseaux du ciel (Actes Sud), traduit de l’anglais (Australie) par Mireille Vignol.

Source : LivresHebdo

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