Ces prix prestigieux récompensent les meilleurs livres de langue française et de langue anglaise au Canada dans sept catégories. Les lauréats, qui recevront une bourse de 25 000$, seront annoncés le 17 novembre. On remet également 3000$ aux éditeurs des livres gagnants. Les finalistes, quant à eux, reçoivent 1000$.
Rappelons que la lauréate du prix GG 2020 – remis en 2021 en raison de la pandémie – dans la catégorie Romans et nouvelles était Sophie Létourneau pour son livre Chasse à l’homme (La Peuplade).
Voici les livres en lice dans chacune des catégories :
Romans et nouvelles
Faire les sucres de Fanny Britt (Le Cheval d’août)
Rien du tout d’Olivia Tapiero (Mémoire d’encrier)
Tout est ori de Paul Serge Forest (VLB éditeur)
Noir métal de Sébastien Chabot (Alto)
J’ai montré toutes mes pattes blanches je n’en ai plus de Sylvie Laliberté (Somme toute)
Théâtre
Okinum d’Émilie Monnet (Les Herbes rouges)
Johnny d’Emma Haché (Lansman Éditeur)
Bande de bouffons de Jean-Philippe Lehoux (Du Quartz)
Copeaux de Mishka Lavigne (L’Interligne)
Combattre le why-why de Rébecca Déraspe (Ta Mère)
Poésie
Exosquelette de Chloé LaDuchesse (Mémoire d’encrier)
La voleuse de Daria Colonna (Poètes de brousse)
D’une caresse patentée de Louise Marois (Triptyque)
Pompéi de Patrick Roy (Le Quartanier)
Pendant que Perceval tombait de Tania Langlais (Les Herbes rouges)
Essai
Occuper les distances d’Esther Laforce (Leméac)
La vie au long cours d’Isabelle Daunais (Boréal)
L’empire invisible de Mathieu Bélisle (Leméac)
La reconstruction du paradis de Robert Lalonde (Boréal)
Du diesel dans les veines de Serge Bouchard et Mark Fortier (Lux)
Littérature jeunesse – texte
Tara voulait jouer de Frédérick Wolfe (Leméac)
Les avenues de Jean-François Sénéchal (Leméac)
Comme un ouragan de Jonathan Bécotte (Héritage)
Le dernier Viking de Mario Fecteau (Boréal)
Stella, qu’est-ce que tu fais là? de Sandra Sirois (Hurtubise)
Littérature jeunesse – livres illustrés
Bouées : Dérives identitaires, amours imaginaires et détours capillaires de Catherine Lepage (La Pastèque)
La langue au chat et autres poèmes pas bêtes de François Gravel et Laurent Pinabel (Les 400 coups)
Le tricot de Jacques Goldstyn (La Pastèque)
À qui appartiennent les nuages? de Mario Brassard et Gérard DuBois (La Pastèque)
Ma maison-tête de Vigg (Fonfon)
Traduction
Toots fait la Shiva, avenue Minto d’Erín Moure (Le Noroît), traduction de Colette St-Hilaire
La course de Rose de Dawn Dumont (Hannenorak), traduction de Daniel Grenier
La ballade de Baby suivi de Sagesse de l’absurde de Heather O’Neill (Alto), traduction de Dominique Fortier
Petits marronnages de Kaie Kellough (Boréal), traduction de Madeleine Stratford
Poèmes 1938-1984 d’Elizabeth Smart (Le Noroît), traduction de Marie Frankland
Notez que du côté anglophone, l’illustratrice Josée Bisaillon est en nomination pour l’ouvrage qu’elle a illustré et qui est signé par Paul Harbridge : Out into the Big Wide Lake (Tundra Books / Penguin Random House Canada). De plus, les traducteurs Helge Dascher and Rob Aspinall sont également en nomination pour la traduction du français vers l’anglais de la bande dessinée Paul à la maison de Michel Rabagliati.
Pour connaître les autres finalistes du côté anglophone, cliquez ici.
