Les caprices d’Éros (Deuxième partie)

2
Publicité
Rien de mieux, pour tromper la froidure, qu'un peu de chaleur humaine. À l'occasion de la Saint-Valentin, nous avons sélectionné quelques lectures qui devraient vous procurer maints émois. Tantôt coquines, tantôt dévergondées, mais toujours passionnées, ces histoires sauront, nous l'espérons, satisfaire tous les appétits amoureux.

Dans la seconde partie de cette sélection de nos lectures amoureuses préférées, nous attirons votre regard sur quelques-unes des plus fines plumes des belles-lettres étrangères qui ont, chacune à leur manière, célébré les charmes d’Éros. Pensons à Sarah Waters, qui a connu un franc succès sur la scène internationale avec l’enchanteur Caresser le velours, un premier roman s’inscrivant dans la lignée victorienne et qui célèbre, avec érudition et sensibilité, l’amour lesbien. Les amateurs de littérature japonaise et d’atmosphères étranges, quant à eux, ne voudront pas se priver du plaisir d’Hôtel iris, signé Yoko Ogawa, ou de Svastika, de Junichirô Tanizaki. Et puis les amateurs de grands épopées flirtant avec le réalisme magique trouveront en Quatre lettres d’amour, incontournable best-seller de l’écrivain irlandais Niall Williams, de quoi s’émouvoir très, très longtemps.

Sur un ton plus rigolard, suggérons Point d’orgue de Nicholson Baker, qui explore le destin d’un voyeur, alors que la truculente Calixte Beyala nous offre un récit de passion à saveur africaine dans Femme noire, femme nue. Surveillez cette page car d’autres ajouts viendront compléter cette sélection.

Bonne lecture !

Voyez aussi la première partie de cette sélection >>
__________________

Nous vous suggérons, en guise de dessert, la lecture de ces articles du magazine :

Publicité