Les gagnants du GG!

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Voici que nous apprenons les gagnants du prestigieux Prix littéraire du Gouverneur général 2013! Félicitations!

(Les résumés sont ceux des éditeurs.)

Romans et nouvelles

Quand les guêpes se taisent

Stéphanie Pelletier

Ce recueil met en scène des personnages amoureux de la vie, qu’elle commence, finisse ou recommence, qu’elle soit aussi légère qu’une journée de printemps ou le papotage de cousines à une noce, ou aussi sournoise qu’une lumière d’automne ou le bonheur au fond d’un lit. Père infidèle, amante veuve, chiens errants et autres personnages évocateurs dévoilent une humanité fragile et émouvante. Dans cette grande fête des sens, amour et mort dansent joue contre joue.

Poésie

Pour les désespérés seulement

René Lapierre

Sous des allures de traité de botanique, Pour les désespérés seulement côtoie l’espoir.
« Botanique générale, Catalogue de fleurs, Herbier un, Herbier deux et Envoi » racontent la nature à la loupe, les gestes quotidiens, les espèces menacées, les poèmes perdus et brûlés et ce dernier mot que nous n’avions pas dit, nous qui rêvions d’un monde plus humain.

Théâtre

Bienveillance

Fanny Britt

Un avocat qui s’est retiré d’une cause où il aurait plaidé contre son ami d’enfance retourne le voir à Bienveillance, leur ville natale. Entre narration et dialogues, Bienveillance propose une réflexion assassine et amoureuse sur nos petites lâchetés et nos grandes contradictions. La bonté est ici une valeur aux contours de plus en plus flous.

Essais

Aimer, enseigner

Yvon Rivard

Après 35 ans d’enseignement de la littérature, Yvon Rivard réfléchit sur ce métier de partage et d’éveil du désir. Si l’enseignement est une histoire d’amour, c’est que la connaissance et l’amour obéissent au même désir inconscient d’échapper à la mort en laissant le mystère du monde, la beauté et l’étrangeté des êtres et des choses élargir le regard et la pensée . L’auteur aborde ici la question risquée de l’éros pédagogique en s’appuyant sur des œuvres qui se posent, au fond, la question du bien et du mal.

Jeunesse – texte

À l’ombre de la grande maison

Geneviève Mativat

Dany est fille d’esclave et, donc, esclave. Elle travaille sur une plantation de coton, au Missouri, et subit humiliations et sévices, comme tous les siens. Aussi, en 1860, lorsque les esclaves du domaine sont libérés par l’armée de l’Union des confédérés, Dany n’hésite pas à s’engager pour participer à la guerre pour l’abolition de l’esclavage. Pourra-t-elle cacher son identité aux soldats ? Pourra-t-elle goûter à la liberté? Âge: 12 à 17 ans.

Jeunesse – illustrations

Jane, le renard & moi

Isabelle Arsenault

dans le monde de Jane Eyre, le premier roman de Charlotte Brontë… Quand on se voit grosse et moche, que tout le monde se ligue contre nous, qu’il ne reste que la littérature, l’amitié d’une autre esseulée peut être d’un grand secours. La bande dessinée Jane, le renard & moi est le récit de la méchanceté que les enfants peuvent déployer les uns envers les autres. Âge : 11 ans et plus.

Traduction

L’enfant du jeudi, d’Alison Pick

Sophie Voillot

Tchécoslovaquie : 1938. Pavel et Anneliese Bauer jouissent de leur grande demeure où leur fils, Pepik, six ans, est l’objet de toutes les attentions. Marta, la nounou, est d’ailleurs folle de l’enfant. À mesure que les rumeurs de la menace nazie atteignent leur coin des Sudètes, leur vie est bouleversée même s’ils ne se sentent pas juifs, ou si peu. Ils doivent renoncer à tout. On leur offre toutefois une chance ultime pour que leur enfant soit épargné.

ConseilDesArts

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