Chaque année depuis 1989, le Prix du livre d’Ottawa récompense une œuvre francophone publiée dans la dernière année d’un auteur résidant dans la capitale canadienne.

La catégorie fiction englobe le roman, la nouvelle, la poésie et la littérature jeunesse, et la catégorie non-fiction comprend la biographie, les mémoires, l’essai, le journalisme littéraire et l’histoire culturelle.

Un jury indépendant de trois pairs, constitué d’écrivains et de professionnels du milieu littéraire, permettra de déclarer un gagnant dans chacune des catégories, lesquels seront connus au mois d’octobre prochain.

Une bourse de 7500$ est promise pour chaque lauréat. Quant aux finalistes, ils reçoivent un montant de 1000$.

L’an dernier, le prix est allé à Alain Bernard Marchand pour son recueil de nouvelles Sept vies, dix-sept morts (Les Herbes rouges). Il n’y a pas eu d’attribution pour la non-fiction, faute de soumissions conséquentes.

Cette année, les éditions David et les Presses de l’Université d’Ottawa réussissent à placer trois titres chacun. Notons que la finaliste Andrée Christensen a déjà remporté le prix en 2017, 2008 et 1995, de même que le finaliste Maurice Henrie, celui-là en 2009, 2005, 2004, 1997, 1993 et 1989.

FICTION

L’Isle aux abeilles noires, Andrée Christensen (David)

XieXie, Michelle Deshaies (David)

Fragments de ciels, Daniel Groleau Landry (L’Interligne)

Et si un soir, Lisa L’Heureux (Prise de parole)

Le goupil, Éric Mathieu (La Mèche)

 

NON-FICTION

Thomas Chapais, historien, Damien-Claude Bélanger (PUO)

Donc je suis, Maurice Henrie (PUO)

Le poids du temps, Maurice Henrie (PUO)

Entre le risque et le rêve : Une brève histoire des Éditions David, Yvon Malette (David)

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